La demande en bois-énergie, notamment de plaquettes forestières, est appelée à s’accroitre dans les années à venir. Le projet RESPIRE vise à :
Pour cela, le projet s’appuie sur des expérimentations ex situ en laboratoire et in situ avec un réseau de 12 parcelles permanentes de 2 ha chacune sur la manipulation de matière organique des sols en forêt (Réseau MOS, chêne et hêtre), incluant un traitement extrême où le sol est mis à nu tous les ans par enlèvement des litières fraiches (de façon à borner les réponses de l’écosystème sans que cela ne soit envisagé pour la gestion). La présente synthèse expose la méthodologie employée ainsi que les résultats et les perspectives du projet.