Dans l’esprit des décideurs et parfois des ingénieurs, une « chaufferie bois » se résume trop souvent au cœur du process, c’est-à-dire à la chaudière et à ses équipements périphériques (automate, traitement des fumées, évacuation des cendres…). Le bâtiment, les aires de manœuvre, les tranchées destinées à accueillir les canalisations enterrées représentent pourtant, en termes d’investissement, des postes aussi lourds, parfois plus même, que les équipements thermiques qu’ils abritent et ceci constitue une pierre d’achoppement pour certains projets.
Ce dossier précise les points de vigilance applicables aux différents organes d’une chaufferie et des réseaux pour répondre aux trois exigences suivantes :
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